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  • Photo du rédacteurCorinne Théret

L'été photographique de Lectoure - Lectoure

Dernière mise à jour : 2 août 2021

" EN 2020 avec la pandémie ce fut une édition en plein air Interrogeant les écosystèmes, entre global et local, l’impact des projets artistiques sur l’environnement, la nécessaire mise en place d’une sobriété carbone, le festival nous amenait à réfléchir à des formes d’organisation plus résiliantes, expérimentées entre autres par les collectifs d’artistes... L’édition 2021 du festival prolonge ces réflexions, interroge la notion polysémique de nature qui, depuis des siècles, contribue et conditionne fortement notre rapport au monde. Partant de la relation qu’entretiennent les artistes aux territoires inconnus ou familiers, les lieux où ils vivent, les lieux qu’ils arpentent le temps d’un projet, cette édition propose de nouvelles pistes de réflexion qui disent beaucoup sur leur relation au vivant, au monde végétal, au monde animal, aux éléments, aux forces physiques, invisibles, intangibles."


Ici , Julien Coquentin, "un livre photographique transposé en une exposition . IL transforme souvent les territoires lointains, les « ailleurs » en territoire intime. il appréhende, ici , de manière sensitive le territoire de La Réunion, ce milieu tropical, où il a vécu en famille pendant plusieurs années"

À la Cerisaie, Nía Diedla, nourrie de l’esprit du lieu, continue sa course sur le fil d’une autobiographie réinventée. Avec l’installation Mythos / La maison sans nom (2021), elle s’interroge sur la maison, la maison mythique, celle de son enfance. Qu’est-ce que la maison ? Est-ce que ce sont nos racines ? Est-ce que c’est l’arbre que l’on porte en soi ?... "


" François Méchain Artiste nomade, fils d’agriculteur, botaniste et agronome, fin dessinateur, passionné par les choses de la terre, François Méchain accordait une grande importance aux lieux et à leur histoire dans sa démarche artistique... "


"Le travail photographique de Charles-Frédérick Ouellet est le fruit de l’alliance entre une démarche documentaire et une pratique artistique plus proche de l’essai d’auteur. Il est tourné vers les lieux chargés d’histoire, de symboles..."


"Christophe Goussard et Charles-Frédérick Ouellet présentent Entre fleuve et rivière (2019), projet photographique mené en résidence au Pays Basque et dans les provinces du Québec et du Labrador. Un dialogue entre deux photographes, deux écritures photographiques, une immersion dans les paysages, une manière de se retrouver soi, d’être au monde dans une marche solitaire, une quête."...



"À la halle aux grains, on est aspiré par un dispositif scénographique complexe, parfois ouvert, parfois immersif. À l’entrée du lieu, une expérience polysensorielle se met en place avec la réactivation d’une large installation olfactive, Et les fauves ont surgi de la montagne (2018) de Julie C. Fortier complétée par une seconde installation, au sol,La rivière s’est brisée (2018). Un long collier brisé, dont les perles sont éparpillées au sol et quidessine une sorte de rivière sinueuse serpentant entre les manteaux. La québécoise Julie C. Fortier explore des territoires odorants peu traversés. L’installation est composée de neuf manteaux de fourrure, neuf portants, neuf colliers en porcelaine et de neuf parfums. La dimension tactile fait écho à la dimension olfactive. Le parfum renvoie à une ancestralité profonde, mémorielle... "

" Thomas Cartron et Sylvain Wavrant, tous deux plasticiens et directeurs artistiques de l’association rouennaise Nos Années Sauvages, réactivent les œuvres réalisées pendant la résidence de création Anima Obscura à l’automne 2020 au Centre d’art et de photographie de Lectoure. Le plasticien Laurent Martin, l’un des membres actifs de l’association, les accompagne et imagine une scénographie labyrinthique et rocailleuse pour le projet qui prend comme point de départ le mythe de Diane et Actéon. Animaux naturalisés, images argentiques tirées sur peaux d’animaux, fresque dessinée au fusain, installation filmique et sonore..."




Une marche photographique en France Avec le collectif Tendance Floue et ses invité·e·s... " Un vent de liberté souffle sur la photographie française. Las du carcan des commandes, avides de retrouver l’idée d’indépendance à l’origine du collectif Tendance Floue, ses membres décident de prendre la route. Cheminer, battre la campagne, vagabonder dans les villes sans parcours préétabli : nulle autre contrainte que d’avancer un peu chaque jour, transmettre ses impressions par l’image et les mots, puis passer le relais. Plus qu’une parenthèse, c’est une fenêtre ouverte que s’offrent là les photographes..."








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