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 Nicolas Laurent 

Né à Marseille en 1976, il vit et travaille à Aix en provence

 

Ce qu’il dit de sa démarche  

Emu par l’art et le monde des artistes depuis longtemps (la liberté), j’ai commencé à m’aventurer sur le vaste territoire de la création, il y a maintenant six ans (2005) . Avec peines et joies (mes peines sont plus belles que vos joies).

La découverte de certains maîtres (l’immense Alberto Giacometti pour ne citer que lui), la lecture de leurs écrits, m’encouragent alors chaque jour davantage à faire exister, à donner vie à de petites créations. Petites en taille mais existantes. Les idées qui deviennent projets (faire comme ceux qui sont connus) s’affirment, le doute disparaît et puis qu’importe… Dès lors chaque idée sera mise en œuvre, une sculpture, un dessin ou autres. C’est ma ligne de conduite, si bien qu’il est parfois difficile de suivre, ce que j’affectionne tout particulièrement (tout est permis n’est-ce pas ?).

 

         

La sculpture (pièces mécaniques recyclées, l’acier soudé à l’arc, le laiton brasé à l’argent et maintenant le rhodoïd) m’a séduite la première. Le dessin s’invitant tous les jours un peu plus fort.

Travailler par série de petits nombres de pièces me permet de passer à d’autres idées, à d’autres expériences. J’utilise ainsi des matériaux assez différents et réintroduit ce qui me semble utile pour la suite des événements.

Et puis il y a les « accidents » de parcours, qui s’invitent en pleine réalisation. Merci à eux, que je nomme artefacts, ils sont souvent bienvenus et aident à être différent.

La représentation du corps me tient à cœur, particulièrement la tête (crâne, visage, masque)  et la main. L’identité vient du visage, le pouvoir et ce qui caractérise l’être humain,  de la main.  

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